Jeudi 24 Avril 2025- Préfet Khoury
Intervention de Ziad Khoury
Le 24 avril 2025
lL existe bien des points communs entre préfet et avocat. Ainsi, sur Le plan de l'éthique professionnelle, l'avocat a des principes déontologiques que les préfets portent aussi : désintéressement, loyauté, dignité, probité, honneur, conscience, dévouement.
Les préfets ont Le sens de l’État, ou de la France, que les avocats portent aussi à leur manière, par leur fonction d’auxiliaires de justice, d'acteurs du contrat social, contribuant à La régulation de la société.
Enfin, la mystique de L'État, qui berce normalement les hauts fonctionnaires, constitue une dimension spirituelle qui existe également chez les avocats. Pensons à l’idée d’un sacerdoce, à la notion d'ordre et de serment.
Ce livre, Préfet, des montagnes du Liban au service de la République (Mareuil éditions),
est un récit personnel, un témoignage positif en caméra subjective, à partir des étapes d’un parcours professionnel très varié. Il poursuit trois objectifs :
- montrer un exemple d’intégration, celui du premier Libanais à avoir fait l'ENA et être devenu préfet de la République ;
- livrer un plaidoyer en faveur du service de la France, dont il analyse certains des défis majeurs que sont la cohésion nationale, La formation des élites, la construction européenne, le rôle de l'État ;
- éclairer les coulisses de certains milieux comme celui des grandes écoles, de la préfectorale, de la diplomatie européenne ou des grands événements sportifs (EURO 2016 de football et jeux de Paris 2024).
A travers ce récit se dégage l’une idée force : notre enjeu en France, aujourd'hui,est de vivifier l'idée de servir, car la principale crise que nous vivons est liée au fait que cette idée s’étiole, avec toutes Les nuances à apporter, pour une double raison :
- d’abord, l’affaiblissement de la République des citoyens, au profit de celle des individus, et de plus en plus des communautés, - ensuite Le recul de l'impératif de l'intérêt général.
En somme, ce livre est l’histoire d’un destin français, d’un rêve français, des notions dont nous devons donner le goût à tous les citoyens, comme il existe un rêve américain, et désormais l’objectif d’un rêve chinois, que s’efforce de forger Xi Jinping. Et nous, Français, nous délaisserions la fierté nationale, le souffle de notre Histoire ? Les vrais combats sont d'abord culturels. Un travail inlassable et puissant doit être mené pour partager largement le récit national et ce que Chateaubriand appelait l'instinct de la patrie.
Servir La France aujourd’hui, c’est donc servir l’idée d’un rêve français. Renan qualifiait d’ailleurs la Nation de principe spirituel, avec la possession en commun d'un legs et le désir de le faire valoir ensemble. Nous avons une conception volontariste de La Nation, construite autour de l’Etat. Et il faut s'appuyer sur cet atout.
Cette conception exige de rechercher comme principal aiguillon l’intérêt national. Le livre l’'évoque notamment à travers l’exemple du Liban, qui est son premier chapitre, consacré à une enfance dans la guerre puis un exil incertain en France. Il raconte aussi le sentiment en France, malgré les réussites, de s'être senti comme un membre du système mais pas du sérail, exposé au syndrome de l’imposteur. Les codes culturels constituent au fond un sérieux obstacle à l'égalité des chances.
Quelques épisodes sont relatés, des plafonds invisibles, mais sans jamais vouloir renoncer, hasard aidant, à croire dans Le sens de son engagement.
.Un autre chapitre raconte l’ambiance si particulière des années d'étude à Sc Po comme
à l'ENA. C'est dans ces écoles de l’excellence que se découvre avec jubilation un nouveau monde et où s’est faite la transition culturelle entre te Liban et la France, l'introduction dans une forme d'élite, tout en commençant à prendre la mesure de l’âpreté d’un système d’éviction.
Puis ce fut une mystique de L'État qui a servi de force d'entraînement, malgré la part qu’on découvre d’une lutte des places. IL y eut la découverte, comme plus jeune sous-préfet de France, de la France provinciale, et Le constat sans naïveté d’une richesse et d’un potentiel partout dans le pays.
Ce métier préfectoral se conçoit comme un métier de moine-soldat. Mal connu, il est décrit dans sa réalité, y compris celle du quotidien. Son exercice est devenu plus difficile avec la pression du temps instantané, l'éclatement de la société et des organisations, l'obligation de convaincre plus que de commander. Mérimée disait déjà au 19è siècle que c'était un métier « pire que celui de galérien ».
Devenir préfet de la République, s'inscrire dans l'Histoire française et sa lignée, était en tout cas le rêve d’une vie, vécu avec des découvertes et des rencontres étonnantes, notamment dans une ruralité heureuse mais trop négligée, en Haute-Saône puis dans l'Aisne. La France nous offre cette possibilité d’un engagement intense, sobre et épanouissant, en dehors du tohu bohu.
Cet engagement doit se faire avec le sens de l’État en bandoulière, qui est la potion magique des Nations fortes. Il s’acquiert et il se cultive, mais il y faut des hussards et des grands commis, qui manquent aujourd’hui.
Sont narrées aussi les responsabilités d’un préfet dans la gestion de crises, comme celles des Gilets jaunes ou de La Covid, sans précédent par leur ampleur et les moyens exorbitants, en temps de paix, dont les préfets ont disposé.
Cette organisation préfectorale n’est pas dépassée mais une chance pour l'avenir: ce n’est pas son maintien qui nous pénalise, mais au contraire la dispersion des leviers. Elle reste la condition de la nécessaire unité dans la proximité.
Le livre donne en outre les clés de compréhension du fonctionnement de La machine européenne, et des désillusions à son égard, malgré les espoirs d'un nécessaire projet européen.
ILexplique aussi tout ce qu’il a fallu faire pour réussir à organiser en sécurité L'EURO 2016 de football en France, pendant l’état d'urgence à la suite des vagues terroristes de 2015, qui fut le plus grand dispositif de sécurité planifié en France, ou les Jeux olympiques de 2024 à Paris, qui le surpassa avec succès.
Trois défis transparaissent, et sont La clé pour pouvoir réussir tout Le reste. À - Premier défi : la cohésion nationate. Rassembler tous les talents
Nous devons parvenir à embarquer Le plus grand nombre dans un avenir commun, en fidélité avec ce que nous sommes. Or les difficultés du système d'intégration sont manifestes, pas seulement en raison de la question des flux migratoires, mais par un éloignement progressif d’un certain idéal. La question qui se pose n’est pas celle de L'uniformisation mais du creuset commun et du contrat social.
Il nous faut donc renouer davantage avec une volonté collective, ainsi que des leviers puissants pour la porter. Une politique volontariste d'égalité des chances, face aux plafonds culturels, géographiques ou sociaux, est aussi indispensable. Le communautarisme, pour sa part, est un poison lent. Il faut exalter ce qui unit.
Les fractures territoriales se sont aussi exacerbées depuis longtemps, et mettent de côté les ressources de toute une partie de notre pays. Or tous les territoires doivent compter et pouvoir adhérer au même destin.
BDeuxième défi : le sens du pays. Mettre les talents au service de la France
IL importe de donner du sens à l'engagement, et de Le valoriser. Au titre de l’État, beaucoup de fonctionnaires y sont prêts, avec des poumons de la République comme les préfectures, et toutes nos sentinelles de La République.
IL faut parallèlement refaire du service de UÉtat un summum, par une idéologie de l'intérêt général. Or il existe depuis de nombreuses années une perte d’attractivité.
L'élitisme est une nécessité, si c’est par la méritocratie. Ses dérives surviennent quand il devient hors sol, par l'effet de caste, et hors peuple, par La panne de l’ascenseur social. La question aussi est : pour quoi faire ? L'élite doit être corrélée à une finalité politique et une orientation nationale.
CTroisième défi : l’État fort. Faire prévaloir le sens de l’État
Nous avons la chance, en France, d’avoir encore un État fort dans ses fondements, et attendu dans son ancrage populaire. Cet atout fondamental demeure une force. Rien de ce que nous souhaitons en France ne sera possible sans L'État fort et attendu.
Ce livre, en somme, est une profession de toi. Si nous devons être lucides sur notre situation, c’est pour finalement parvenir à une vision d’espoir, dans laquelle servir son pays reste La plus formidable des missions :
Oui, l'intégration est possible pour chacun s’il veut devenir, sans se renier, plus français que les Français.
Oui, Le mérite peut permettre encore de s’accomplir, malgré des obstacles aujourd’hui peut-être plus grands.
Oui, une élite est une réalité saine si elle se met au service d’un projet collectif.
Oui, L'État est notre salut, comme l’Europe, s’ils se conçoivent comme Les promoteurs de l'intérêt national et européen. L'État est le bien de tous et, comme le disait de Gaulle, la condition de tout. Il doit être fort.
= Oui, tous les territoires comptent et peuvent être un atout. De Bobigny à Vesoul et aux 800 communes de l'Aisne.
- Oui, les préfets et les préfectures sont une chance, avec leurs rites nécessaires, avec le travail inlassable qu’ils brassent.
- Oui, enfin, chacun a Le devoir de posséder un sens de L'État et du pays. La France reste une terre d’avenir et d'opportunités, à condition de La respecter et de la servir. Des efforts considérables sont aujourd’hui nécessaires, sans en exonérer personne, ni manquer de courage.
JEUDI 22 MAI A 14H30.Exposition a la Galerie des Gobelins.Le dernier Sacre
Nous vous proposons une visite de l’exposition intitulée " Le Dernier sacre " et consacrée au sacre de Charles X, à la Galerie des Gobelins, 42 avenue des Gobelins, 75013 Paris.
Cette visite, guidée par notre conférencière Émilie, aura lieu le jeudi 22 mai 2025 à 14h30. Nous nous retrouverons à 14h15 – horaire impératif – à l'entrée de la Galerie. Comme d'habitude, vos conjoints ou compagnons sont les bienvenus.
La Galerie des Gobelins plonge le visiteur dans les coulisses des préparatifs de la fastueuse cérémonie du Dernier Sacre français. Le 16 septembre 1824, le roi Louis XVIII s'éteignait après de longues semaines de maladie. Le sacre de son successeur Charles X a lieu huit mois plus tard, le 29 mai 1825, à Reims : c’est une cérémonie grandiose.
Le Mobilier national raconte cet événement dans le cadre d’une exposition riche en couleur et en décors, sous le commissariat général de Stéphane Bern, assisté pour la scénographie de Jacques Garcia : préparatifs, costumes, carrosse, décors, cérémonie, festin, cadeaux diplomatiques, commandes officielles, produits dérivés d’époque... Revivez le dernier sacre comme si vous y étiez
Le coût global de cette visite est de 20 € par personne à régler par chèque libellé à l’ordre de Anne Charvériat et à adresser, pour valider votre inscription, à Madame Hubert Charvériat 59 avenue du Roule 92200 Neuilly-sur-Seine. Pour des raisons d'organisation évidentes, merci de nous indiquer si vous avez l'intention d'être des nôtres ; si nous sommes trop nombreux, les inscriptions seront prises en compte par ordre chronologique de réception de votre chèque.
INITIADROIT -comment s'inscrire?
Pour ceux et celles qui souhaitent aller dans les écoles :
-aller sur le site www.initiadroit.com
-cliquer sur le thème Ecoles
-puis télécharger la brochure "Des avocats bénévoles impliquent les élèves dans la vie citoyenne"
ou appeler notre consœur : Maitre Lucile Rambert au 01 44 32 48 54
Jeudi 6 février à 14 heures - La légende des Cathédrales
La légende des cathédrales, Histoire et symbolique des géants du Gothique, par François Courcoux.
Le terme légende (legenda en latin), veut littéralement dire : ‘"ce qui doit être lu". A l’heure où l'on redécouvre une cathédrale de Notre Dame qui avait été gravement meurtrie par un violent incendie, que savons-nous de l’histoire réelle de nos cathédrales ? Si on connaît mieux comment elles furent édifiées, en revanche on en sait encore trop peu sur les raisons de leur construction et leur signification profonde. Je vous invite à venir écouter cette légende qui vous emmènera aux temps de gloire des plus emblématiques monuments de la civilisation chrétienne occidentale et entrer dans la compréhension de leur signification.
Cour criminelle Départementale
Merci à ceux d'entre nous qui sont assesseurs d'une cour criminelle départementale d'adresser un mail au délégué du bâtonnier chargé des avocats honoraires :
notre confrère Anne-Guillaume SERRE :agserre@saintgermainavocats.fr
En effet ,la commission pénale de l'Ordre souhaiterait faire un point;
C'est urgent pour le mardi 7 Janvier 2025 .
Merci par avance de ce que vous pourrez faire
Jeudi 23 Janvier à 14 heures- Trouver les clés d'un monde qui change
Introduction
Qu’est-ce que l’économie ?
L’économie, la plus « dure » des sciences « molles »
Dure car chiffrée ; mais peut-on faire confiance aux chiffres ?
Cette résonance avec les sciences molles : prendre en compte l’écosystème sociétal de l’économie
L’économie, la science des échanges
La question de l’intensité des échanges
L’interaction avec l’environnement social
Regard structurel
Rappel : les cycles
Multiséculaire (peu opérant aujourd’hui ; caractéristiques de Sociétés économiquement plus stables)
Kondratieff (multi-décennal)
Inter-cycle (E Labrousse)
Juglar (cycle conjoncturel ou business cycle)
Où en est-on ?
Les décennies d’après-guerre ou le triomphe du keynésianisme ; la stagflation l’a tué
Depuis les années 80, le néolibéralisme ; la politique le tue
Quid demain ? La Modern Supply Side Economics (accroître les capacités de production - capital & travail – de manière inclusive et respectueuse de l’environnement)
D’une « régulation », l’autre ; quelle cohérence sociétale : 4 regards
Politique intérieure : moins de grains à moudre
Politique extérieure : faire de la place à la Chine
Culture : l’individu-centre contesté
Economie : investissement vs consommation
Se dépatouiller d’une croissance faible
Une politique économique dans tous ses états !
Politique budgétaire : la vertu est-elle un défaut ?
Politique monétaire : hétérodoxie ou changement de mandat ?
Politique structurelle : la question du financement
FED : sous pression avant l’arrivée de D. Trump
Trump ne cesse de vilipender J.Powell, alors que celui-ci a globalement réussi l’exploit de faire atterrir l’économie en douceur malgré les hausses de taux agressives.
Il affirme qu’il laissera Powell finir son mandat à la tête de la FED (celui-ci arrive à échéance en mai 2026). D’ailleurs à moins qu’il ne démissionne de lui-même, Trump devrait modifier la loi pour le contraindre à partir. Mais une telle démarche sera très négative pour la confiance des investisseurs dans la FED, et plus généralement pour les administrations américaines.
En effet, l’ancrage des anticipations d’inflation et de taux d’intérêt repose en grande partie sur la crédibilité et la confiance des investisseurs envers la FED. En cas de perte d’indépendance de la FED (qui, sous pression de Donald Trump, baisserait les taux courts), les taux longs augmenteraient probablement à cause des anticipations. In fine, cette hypothèse serait néfaste pour tous.
La question de l’inflation a-t-elle été mise derrière ?
La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé son taux de dépôt de 0,25 point, le ramenant à 3 %, marquant une quatrième baisse consécutive. Depuis juin, les réductions cumulées atteignent 100 points de base, reflétant une volonté de soutenir une économie européenne en difficulté, tout en permettant une stabilisation de l'inflation autour de l'objectif de 2 %.
La BCE abandonne désormais la mention de politiques "suffisamment restrictives" dans ses déclarations, semblant renforcer ainsi une approche au cas par cas basée sur les données économiques (Data Dependent).
Si l'inflation atteint 2,4 %, avec une prévision légèrement supérieure à 2 % pour 2027, influencée par des hausses prévues des prix du carbone, les risques de ralentissement économique en zone euro s'accentuent, exacerbés par des tensions politiques (en Allemagne et en France) et des incertitudes commerciales mondiales.
Malgré une croissance des salaires encore élevée, la BCE se dit confiante quant à la poursuite du processus de désinflation. Les perspectives de croissance restent fragiles, avec des risques orientés à la baisse, bien que la BCE espère un rebond en 2024.
L'eau, les eaux et la justice ? Roubaix 6 et 7 décembre
L'eau ,les eaux et la justice 6 et 7 décembre
Inscriptions gratuites auprès de Michèle SEURIN -MARZOUK
Mardi 17 Décembre de 19h à 22heures - Les Violences Intrafamiliales -VIF
Cette conférence, présentée par Béatrice Weiss Gout, avocat honoraire, sera animée par les trois magistrates coordinatrices du pôle VIF de la Cour d’appel de Paris, Madame Dominique Salvary, Madame Sophie Bardiau, Madame Anne Coquet, et deux avocats spécialisés, Guillaume Barbe, Expert français du GREVIO, Anne Sannier, membre du bureau de l’IDFP.
I) Une prise de conscience qui se traduit par des textes et des recommandations
• Les sources internationales
Conseil de l’Europe et Convention d’Istambul,
Jurisprudence de la CEDH et de la CJUE
Directive européenne
• Les efforts français
Les textes et initiatives issus du Grenelle 2019
Le plan Rouge vif
Les arrêts de la Cour d’Appel de Poitiers
II) Une nouvelle architecture procédurale, porteuse d’avenir
• Les objectifs
Conjuguer protection/prévention/répression
Offrir des solutions pour les familles
Travailler sur la place de la victime
• La structure judiciaire en construction : les innovations
Coordination civil/pénal
La place de l’ordonnance de protection
Formation et spécialisation des juges
Organisation de la pluridisciplinarité
Quid des modes amiables ?
• Les difficultés
Préservation des droits de la Défense
Licéité de la preuve
Inadaptation de certains outils
inscription par mail : formationcontinue @ avocatparis.org
Gazette n°16 - Décembre 2024
La gazette n°16 de la SPANAH est sortie.
Vous pouvez la lire ou la télécharger en cliquant sur le lien ci dessous :
Mercredi 18 Décembre à 13h45 Musée Picasso
Chers amis,
Nous vous proposons une visite de l’exposition consacrée à Jack Pollock – Les premières années (1934-1947) au Musée Picasso 5 rue de Thorigny, 75003 Paris.
Cette visite, guidée par notre conférencière Émilie, aura lieu le mercredi 18 décembre 2024 à 14h. Nous nous retrouverons à 13h40 – horaire impératif – à l’entrée.
Comme d'habitude, vos conjoints ou compagnons sont les bienvenus. Le nombre de participants est limité à 20.
Le coût global de cette visite est de 23 € par personne à régler par chèque libellé à l’ordre de Anne Charvériat et à adresser, pour valider votre inscription, à Madame Hubert Charvériat 59 avenue du Roule 92200 Neuilly-sur-Seine. Pour des raisons d'organisation évidentes, merci de nous indiquer si vous avez l'intention d'être des nôtres ; si nous sommes trop nombreux, les inscriptions seront prises en compte par ordre chronologique de réception de votre chèque.
Très cordialement.
Anne Charvériat
0612511002
anne charveriat@orange.fr
Présentation de la visite
Cette exposition revient sur les débuts de la carrière de Jackson Pollock (1912-1956) et témoigne des diverses sources qui nourrissent les recherches du jeune artiste, croisant à l’influence des arts natifs américains et celle des avant-gardes européennes, au sein desquelles Pablo Picasso figure en bonne place. Elle propose un parcours articulé autour de plusieurs moments forts du parcours artistique et intellectuel du jeune Pollock et s’attache à souligner l’intensité et la singularité de son œuvre dans ses différentes dimensions (peinture et travail sur la matière, gravure, sculpture).